https://www.beauxarts.com/encyclo/caspar-david-friedrich-en-2-minutes/
J'enchaîne avec une réflexion liée à Caspar David Friedrich.
Il s'agit d'un travail que j'ai écrit en fin d'études en 2016 aux Ateliers Beaux-Arts de Paris sur le thème de Mnémosyne.
Mnémosyne
Brigitte Biechy
- Mnémosyne, déesse de la Mémoire, s’insinue-t-elle dans l’art créatif ?
- Si oui quelle est son empreinte dans les œuvres des plus grands ?
- La retrouve-t-on dans mon propre travail pictural ?
- Conclusion.
- La Mémoire s’insinue-t-elle dans l’art créatif ?
Une création est Mémoire par essence puisqu’elle n’existait pas hier. Elle est date, s’inscrit dans le temps, et témoigne de l’état d’esprit, du vécu, du ressenti de l’auteur en ce jour. L’œuvre sera le souvenir de ce jour, elle en sera la mémoire.
Picasso qui a tant évolué au cours de sa passion créative savait de quoi il parlait : « L’œuvre qu’on fait est une façon de tenir son journal».
Au cours de cette réflexion sur la mémoire dans l’œuvre créative, je ne parlerai que du domaine pictural que j’exerce aux Beaux-Arts de Paris Glacière.
Tout au long de sa vie l’artiste peintre se constitue un catalogue de mémoires. Il est façonné d’empreintes perceptives que lui a laissé la vie, le monde qui l’entoure, les émotions qu’il a ressenties, les épreuves douloureuses vécues, ses sensations. Cela construit son être et lui permet de se découvrir, de prendre conscience de son corps et de son esprit.
Ce catalogue de mémoires est enrichi par la formation, la curiosité et la recherche. Créer suppose d’être à l’écoute de ses représentations sensibles. Il s’agit de transformer en représentations visibles des inscriptions psychiques du plus profond de soi.
Ernst Hans Gombrich, historien de l’art britannique d’origine autrichienne, auteur de nombreux essais et articles, notamment d’une célèbre Histoire de l’art, est connu en 2009, pour avoir introduit, de manière active, la psychologie dans son domaine, ce qui est, selon lui, devenu indispensable pour comprendre les œuvres d’art.
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- De quelle manière apparaît la Mémoire dans la création des grands artistes peintres ?
Dans notre époque où les images l’emportent sur les mots, beaucoup de créateurs témoignent de l’empreinte de la mémoire dans leurs œuvres plus ou moins implicitement.
Le mouvement surréaliste a libéré les artistes de l’académisme en faisant appel au rêve, à l’imaginaire, à la folie et à l’inconscient de chacun.
Dali, peintre surréaliste code tous les éléments de ses tableaux.
Derrière des objets apparemment anodins, se cachent des symboles.
Dans « La girafe en feu », les tiroirs, récurrents dans ses œuvres, représentent la mémoire ainsi que l’inconscient.
Ils renvoient à « la pensée à tiroirs », un concept hérité de la lecture de Freud et expriment le mystère des secrets cachés.
Dans le même courant artistique, Magritte puisait également le symbolisme de ses toiles au cœur de son existence.
Il a réalisé de nombreuses œuvres sous le nom : « Allégorie à la mémoire. »
Ce tableau représente une mémoire douloureuse. La tache de sang évoque le vivant et la douleur. Elle contraste avec l’immobilité de l’objet-statue, insensible. La tête est séparée de son corps comme la feuille séparée de son arbre est destinée à mourir. Le grelot est détaché de ce à quoi il était relié : cela symbolise la mort, la séparation. Le grelot pourtant symbole d’enfance et de musique, ici, tue.
En 1954, Magritte a répété ce thème jusqu‘à l’obsession, évoquant la mort, la perte, la douleur surgissant au milieu de la tranquillité de l’oubli symbolisée par la sérénité qui émane de ses arrières plans : « nous ne retenons que ce qui nous frappe, nous meurtrit et nous heurte douloureusement »
Autre exemple,
témoin de mémoire collective, Vladimir Velikovic est né en 1935 en Yougoslavie,
au cœur des atrocités commises par les nazis. Il exprimera, tout au long de sa
vie, par la peinture, la douleur et la violence de cette mémoire. Il peint des
hommes ou des animaux dont les corps sont confrontés à des situations
dramatiques et terrorisantes qui évoluent dans des scènes de guerre et de
carnage au cœur de paysages désolés. Vladimir Velikovic veut : « Laisser
une cicatrice dans la mémoire des spectateurs ».
Dernier exemple parmi tant d’autres, Anselm Kiefer, né en 1945 est allemand mais pas juif. Toute son œuvre n’aura qu’un but, celui de réparer. Il raconte lors d’un entretien avec Daniel Arasse que « les œuvres d’art doivent contenir du sens », « que l’esprit est dans l’objet », et que « le contenu du tableau est essentiel et non la technicité. »
Thierry Delcourt, psychiatre et psychanalyste écrit en 2007 : « Il est légitime qu’un créateur ne veuille rien savoir de son acte nécessaire et de la signification de l’objet qu’il crée car il est difficile d’affronter sa part d’ombre et les turpitudes de son inconscient. Le plus souvent, il en donne une interprétation complaisante qui doit se respecter au risque de perdre la faculté de créer. Le dialogue sensible entre créateur et récepteur de l’œuvre est avant tout riche de ce qui ne se dit pas, de ce qui ne se sait pas. »
Ainsi, pour résumer, l’acte de créer, loin d’être anodin, révèle la personnalité de l’auteur et souvent à son insu, qu’il l’assume ou non.
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- Que dire de mon travail pictural et de son rapport à Mnémosyne ?
Dans plusieurs de mes toiles, des bandes puissantes plus ou moins verticales, étayent mes constructions. Je veux croire que ces lignes de forces telluriques qui s’allongent et s’étirent jusqu’à vouloir sortir du tableau symbolisent mes racines qui m’entraînent vers l’avenir. Un besoin de me référer au passé qui m’a construite.
N°75 Fév.2016
Des voiles transparents passent et masquent sans vraiment les occulter des parties du tableau reléguées au second plan, des passages masqués signifiant les zones d’ombre dans l’histoire.
Un autre déterminant dans la composition de mes tableaux s’affirme dans l’attrait pour l’élégance, mettant en avant l’équilibre de la courbe et du cercle.
J’avoue la nécessité d’inviter dans chacune de mes toiles, comme une signature, un arc de cercle symbolisant la forme accomplie parfaite, idéale perfection pour moi. Jusqu’à ce que je découvre le « Discours de réception » de Sidonie Gabrielle Colette dont voici un extrait majeur : « Mon instinctif penchant qui se plaît à la courbe, à la sphère et au cercle… Tendre vers l’achevé, c’est revenir à son point de départ. »
Et voilà que Mnémosyne ressurgit !
Ce dilemme complexe et troublant a influencé mon travail. Il correspond à mon intime conviction, lui ajoutant une chute tourmentée et insoluble.
A vouloir s’accomplir, revenons-nous dans notre passé ? Ouvrir des fenêtres dans mes tableaux serait-ce créer des passages vers hier ?
Un nouvel événement me conforte dans cette importance des souvenirs, moteurs de la création.
Dernièrement, chez un libraire, j’aperçois un livre de Norbert Wolf : « Friedrich ».
Attirée, je le feuillette et un flash surgit réveillant ma mémoire. Je reconnais les tableaux, la richesse des couleurs, la beauté de leur composition, leur atmosphère éclatante me subjuguent.
C’est sûr, ces tableaux ont contribué à façonner mes goûts, mes aspirations, et ce livre révèle ma madeleine de Proust.
Novalis magnifie le romantisme de Friedrich en nous offrant ces métaphores : « il donne au commun un sens élevé, à l’ordinaire un air de mystère, au connu la dignité de l’inconnu, au fini l’apparence de l’infini ».
Je suis sous le charme…
Falaises de craies à Rügen 1818 Huile sur toile 90,5X71.
Norbert Wolf dans son livre sur Friedrich écrit à peu près ceci : ce tableau est considéré comme une allégorie à l’amour que Friedrich porte à sa femme, amour symbolisé ici par le cadre inférieur en forme de cœur que forment la bande de terre et les arbres. Ici Friedrich confronte le proche et le lointain, il les compare. Le voyage de noce se transforme en voyage « de vie ». Les voiliers annoncent un grand voyage qui commence sur la rive devenue étroite du moment présent, des choses familières, et dont la destination est l’horizon où se dessinent des promesses et des espoirs infinis…
Et soudain, je réalise que j’ai récemment configuré une composition schématiquement similaire dans un ensemble tout autant chargé de symboles personnels. Les deux tableaux pourraient être superposés.
Loin de moi l’idée de comparer mon tableau à celui, magnifique, de Freidrich…
Mais ce rapprochement dans la construction me trouble…
N°71 Déc 15
Dans ce tableau figuratif, peint en mémoire d’un être cher disparu, je me réfugie dans ma peinture, je m’évade dans un paysage métaphorique, cachant des images anciennes lourdes de sens pour moi. A ce moment-là, je ne pensais pas qu’un peintre du dix-neuvième siècle me tenait la main !
Mnémosyne, décidément, s’insinue dans mon travail.
Quelques pages plus loin, nouveau choc : La mer de Glace !
Ce tableau, je l’ai déjà vu, je l’ai déjà aimé, et je le retrouve avec la même émotion !
L'histoire de Friedrich, est bien ici prétexte à la représentation d'un paysage saisissant, des symboles comme la recherche divine sous forme des blocs de glace brisés qui se dressent vers le ciel, leurs lignes obliques évoquant le drame tandis que le bateau déchiqueté symbolise vraisemblablement, la fragilité de l'homme.
Ce sont des symboles avoués pour l’Académie mais la mémoire de Friedrich est belle et bien gravée dans son tableau : le peintre s'est souvenu de la mort par noyade de son frère, lors d'une partie de patinage. Il évoque aussi le naufrage d'un trois-mâts, prisonnier dans les glaces durant une expédition dans le grand Nord.
Serait-ce cette peinture remarquable qui m’aurait inspirée, lorsque je m’attachais à symboliser le réchauffement climatique ?
N°69 Oct. 2015
Imprimée, enfouie dans ma mémoire, « La mer de Glace » de Friedrich peinte en 1823, ressurgit-elle quelques années plus tard, transfigurée dans l’ambiance cristalline et rocheuse sortie de mes pinceaux ?
Je suis toujours chez le libraire et passe en revue toutes les pages du livre. Je cherche la preuve que j’ai déjà, autrefois, rencontré ce peintre en oubliant son nom mais en gardant intactes les impressions fortes que m‘évoquaient ses chefs-d’œuvre.
Quand soudain, page 50, voilà la « Femme au soleil du matin » !
J’ai trouvé le maillon qui me manquait !
Ce tableau, je le reconnais immédiatement, je l’ai copié et orné au crayon d’or, il y a longtemps, sûrement dans les années 80 :
Cette découverte corrobore l’idée que tout un travail se fait dans notre inconscient au fil de notre vie. Des événements vus, ressentis, surtout s’il y a émotion, laissent une empreinte et nous façonnent. Il est indéniable que d’avoir remarqué dans un passé plus ou moins lointain ce peintre, sans m’attacher à me rappeler son nom, a marqué ma mémoire.
Dans « Mnémosyne », les Arts de la Mémoire, François Boutonnet présente les liens étroits, qui sont connus depuis la Grèce Antique, entre pensée et image. Ces liens permettent depuis toujours aux hommes de dompter leur mémoire, de développer des stratagèmes pour l’organiser et la fidéliser. En ce qui me concerne, ma mémoire peu perméable aux informations que je n’ai pas expérimentées comme les dates, les noms propres, m’apparaît experte pour engranger des images, des couleurs, des matières.
Ce que j’ai retenu des tableaux de Friedrich, ce sont ses compositions rigoureuses, symétriques, linéaires, précises, avec un fort contraste entre le vertical et l’horizontal. Ces structures m’apparaissent d’une modernité étonnante.
Lorsque je peins, des chemins de mémoire réveillent en moi des réminiscences, créant des échos sur mes tableaux sous forme d’ordonnancement structuré. Je cherche à creuser l’espace du tableau pour suggérer une profondeur. En définitive, il faut qu’une notion d’espace se dégage avec un haut et un bas, un proche et un lointain.
L’œuvre de Gaspar David Friedrich m’a fascinée également et me fascine toujours par les images d’intériorité purement subjectives qui se dégagent de ses thèmes. Je suis d’accord avec ceux qui le considère comme le peintre génial du silence. Friedrich se confie dans ses écrits : « Il faut que je reste seul et que je sache que je suis seul afin de contempler et d’éprouver la nature. Je dois m’abandonner à ce qui m’entoure, m’unir à mes nuages et mes rochers pour être ce que je suis. »
Je remarque que dans mes toiles apparaissent des couleurs fondues, pâles, bleutées, des espaces lointains comme autant de sfumati qui veulent renforcer la profondeur de la composition. Ces zones de vastes silences, correspondent à une partie de mon histoire, de ma personnalité.
Ainsi, comme constate Erik Orsenna en 2007, « Le souvenir est souvent le père d’une idée ». Friedrich a imprimé son histoire personnelle dans des toiles ambigües, oscillant entre paysages et histoires. Ces peintures m’ont impressionnée au point de ressurgir colorées de ma singularité dans mon propre travail !
La chaîne est sans fin. Si le peintre est le moteur, le spectateur est l’outil, alors Mnémosyne devient la courroie de transmission…
Et même si c’est l’inverse, à savoir que le moteur est le spectateur, alors le peintre devient l’outil… De toute façon, Mnémosyne garde son rôle de transmission.
« Le monde de l’art n’est pas celui de l’immortalité, c’est celui de la métamorphose. » Je remercie André Malraux d’exprimer si judicieusement ce passage de témoin et toute ma reconnaissance va à ma Mnémosyne et aux créateurs qui m’ont influencée et enrichie !
Thierry Delcourt, psychiatre, résume notre propos : « Le fait de créer mobilise en soi une mémoire, des affects, une expérience, une histoire. Depuis les premières perceptions archaïques, jusqu’à la production d’un objet, l’artiste traverse les strates de son psychisme et en recueille cet objet, d’abord virtuel, dont il fera son œuvre. L’émotion sensible prend sa source dans la matrice de l’être et donne à l’objet créé son irréductible singularité. Le spectateur de l’œuvre reçoit ou non cette émotion en fonction de sa disponibilité et de sa capacité à mobiliser sa propre sensibilité. »
Par exemple, Francis Bacon, né en 1909, représente sur ses toiles un monde cruel, qui illustre la violence crue et la monstruosité que chacun porte en soi, comme nous le fait découvrir la psychanalyse.
Study for the head of
a screaming pope
Francis Bacon 1952
Certains s’y retrouvent comme le constate Jean-François Rabain. D’après ce psychanalyste, le « monde halluciné » de Francis Bacon exprime mieux que tout autre, les profondes souffrances de ses patients anorexiques.
Ces derniers atteints eux-mêmes dans leur propre chair, retrouvent dans ces corps qui se délitent, se déchirent et se répandent sur les toiles de l’artiste, la souffrance de leur propre corps renié et exclu.
Ses œuvres qui représentent les angoisses extrêmes qui l’habitent me sont complètement étrangères. Je n’en garderai pas trace : « On n’invente qu’avec le souvenir » Alphonse Karr.
- Conclusion : la mémoire est outil de création et créer est outil d’épanouissement.
Comme j’ai essayé de le démontrer, les catalogues de mémoires alimentent tout acte créatif.
Créer ne fait pas qu’éveiller les souvenirs enfouis, créer magnifie les personnes.
Créer dans l’atelier des Beaux-Arts de Glacière restera longtemps une expérience fabuleuse pour moi. A l’invitation de Martin Bissière, j’ai découvert le monde étonnant de l’art l’abstrait après des années à m’exprimer dans un monde concret.
J’ai vraiment l’impression d’avoir appréhendé, un moyen d’expression qui me correspond, une nouvelle écriture mise à l’épreuve du regard et des images souvenirs.
Le grand saut vers l’art non-figuratif fut un véritable défi. J’ai osé m’exprimer, me dévoiler sur des châssis de grands formats.
Toute ma vie, j’ai eu l’impression de me débattre dans un monde non adapté à ma mesure. Je pense en image d’où mon appétence pour la représentation graphique. M’exprimer oralement ne m’attire pas. En revanche, m’évader dans un monde en trois dimensions m’ouvre des horizons jusque-là bouchés dans un environnement linéaire imposé.
La dyslexie est la compagne d’une vie. Ma pensée particulière qui me fait voir le monde en divers points de perceptions stimule mon imagination. Elle m’a amenée à la peinture. Je peux affirmer que de mon handicap, je suis en train de faire surgir une capacité. Je donne raison à Paul Klee :« L’art ne reproduit pas le visible, il rend visible ».
Comme le géologue fouille les entrailles de la terre afin d’en connaître l’histoire, je cherche en filigrane dans mes créations.
Je cherche à connaître de moi ce que je ne connais pas encore… et devant un tableau terminé je m’étonne de découvrir là, me faisant face, une partie de moi dévoilée.
Octavio Paz, poète mexicain du XXème, dit avec raison : « Toute œuvre d’art est une possibilité permanente de métamorphose, offerte à tous les hommes ».
Et je vais terminer comme j’ai commencé, avec Picasso : « Je ne peins pas ce que je vois, je peins ce que je pense ».
Je peins avec Caspar David Friedrich, et Vermeer, maître éclairagiste, ou Roberto Matta, génie des profondeurs spatiales, et plus près de moi, avec Catherine Seher experte en zones de non-dit et tant d’autres qui me guident … un chemin se trace en moi, je n’ai qu’à le suivre et puis, laisser mon empreinte.
Mnémosyne va m’accompagner en silence, un bout de chemin encore !
Mnémosyne
Brigitte Biechy Février 2016
ABA Glacière 2014-2015-20
Notes et références :
Peinture :
Friedrich de Norbert Wolf, Editions Taschen. 2015
L’art visionnaire, Michel Random Fernand Nathan. 1991
Rencontre pour mémoire, Anselm Kiefer et Daniel Arasse.
https://www.youtube.com/watch?v=RpsdMVca5Ao
La place de la peinture dans l’art contemporain :
Mémoire et table rase : www.face-art-paris.org/FAPrw/artsenat/mémoire.pdf
L’espace dans l’art, Perez 2015 :
http://perezartsplastiques.com/2015/03/04/lespace-dans-lart/
Roberto Matta, l’espace de l’espèce : 2013
www.lacritique.org>lacunes>chroniques
Analyser une peinture : La mémoire, Magritte de Catherine Koning 2013
www.col-grunewald-guebwiller.ac-strasbourg.fr/
Fred Kleinberg, La mémoire au corps, Peintures 1999
www.fred-kleinberg.com/.../peinture-1999-2000-la-memoire-au-corps/
Philosophie :
Psychanalyse et beauté : citations de François Rabain et propos sur Daniel Arasse
www.philoflo.fr/resources/Psychanalyse+et+beaut$C3$A9.pdf
L’art et l’illusion : Gombrich
http://zebrezou.canalblog.com/archives/2009/01/16/12108613.html
Cours de philosophie/leçonXXVI.l’imagination
https://fr.wikisource.org/.../cours_de_philosophie/leçon_XXVI._l’imagination
L’imagination est-elle une mémoire qui ne se contrôle plus ?
sos.imagination.free.fr/imagination.htm
Psychanalyse
Le processus de création : dispositifs, paradoxes et contraintes. Thierry Delcourt, psychiatre et psychanalyste. 2007
www.thierry-delcourt.fr/article-le-processus-de-creation-dispositifs-parad.
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